L’ABSyM remercie Jo De Cock et félicite son successeur

27 juin 2021

 A l'occasion de sa retraite en tant qu'administrateur général de l’INAMI, l’ABSyM tient à remercier Jo De Cock pour ses nombreuses années de dévouement, de diplomatie et de persuasion avec lesquelles il a mené les concertations dans le secteur de l'assurance-maladie. L’ABSyM félicite également son successeur, Benoit Collin, et lui souhaite beaucoup de succès.

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A l'occasion de sa retraite en tant qu'administrateur général de l’INAMI, l’ABSyM tient à remercier Jo De Cock pour ses nombreuses années de dévouement, de diplomatie et de persuasion avec lesquelles il a mené les concertations dans le secteur de l'assurance-maladie. L’ABSyM félicite également son successeur, Benoit Collin, et lui souhaite beaucoup de succès.

 

Bruxelles, le 25 juin 2021.

 

Lors de sa fête d'adieu, l'administrateur général de l’INAMI a été salué pour son expertise, sa loyauté et ses qualités de médiateur, qui font de lui le prototype même du « civil servant» exemplaire à plus d’un titre.

 

A cette occasion, l’ABSyM tient à rappeler combien elle apprécie Jo De Cock en tant que diplomate aux connaissances phénoménales qui a toujours su garder une vue d'ensemble, dépolitiser les situations les plus politisées et toujours mener à bien les négociations en gardant à l’esprit l'intérêt commun. De Cock était passé maître dans l'art de dénouer les nœuds les plus inextricables. L’ABSyM tient à le  remercier chaleureusement pour  toutes ces années de collaboration qui ont abouti à de nombreux accords avec les mutuelles.

 

L’ABSyM félicite également son successeur, Benoît Collin qui prendra la relève à compter du 1er juillet. Le nouvel administrateur général a beaucoup d'expériences dans le monde hospitalier et a été l'adjoint de Jo De Cock pendant quinze ans. Nous souhaitons à Benoît Collin beaucoup de succès à ce nouveau poste !

 

 

Dr Philippe Devos,

Président

À propos de l'ABSYM

Nous défendons une médecine libre avec un modèle de rémunération à l'acte, complétée par des forfaits.
Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.

Le médecin généraliste solo doit pouvoir garder sa place.

En ce qui concerne les spécialistes, nous défendons tous les spécialistes y compris ceux qui exercent en dehors de l'hôpital.