Communiqué de presse: Le BVAS compte son 1000e abonné sur Twitter!

16 janvier 2018

Le week-end passé, @bvastweets, le compte Twitter officiel du BVAS (branche néerlandophone de l’ABSyM), a passé le cap des 1000 abonnés. Et il se trouve que le 1000e abonné n’est autre que Charles Michel.

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Bruxelles, le 16 janvier 2018

 

Parmi les médecins twittos, un fait n’est pas passé inaperçu: le week-end passé, @bvastweets, le compte Twitter officiel du BVAS (branche néerlandophone de l’ABSyM), a passé le cap des 1000 abonnés. Et il se trouve que le 1000e abonné n’est autre que Charles Michel.

 

C’est avec fierté que nous accueillons Charles Michel en qualité de millième abonné. Le Premier ministre fédéral était déjà un abonné de longue date de notre compte Twitter francophone @absymtweets. Dimanche, Charles Michel a décidé de rejoindre également la longue liste d’abonnés du compte @bvastweets. L’occasion idéale pour l’ABSyM/BVAS de remercier toutes les personnes qui affichent un certain intérêt pour notre vision des choses, nos positions et notre engagement sociétal !

 

À l’instar d’autres médias sociaux tels Facebook et LinkedIn, Twitter est un moyen de communication digital, rapide et interactif qui convient à un syndicat médical moderne. C’est le canal par excellence pour s’adresser aux médecins issus des plus jeunes générations, la majeure partie d’entre eux étant ‘digital natives’. Parallèlement, nous constatons que l’intérêt pour les médias sociaux croît rapidement auprès des médecins plus âgés également.

 

En effet, au cours des derniers mois, nous avons pu observer une tendance croissante manifeste dans l’activité et l’interaction sur notre compte Twitter. La stratégie de l’ABSyM/BVAS consistant à professionnaliser sa communication digitale porte donc ses fruits. L’ABSyM/BVAS débutera d’ailleurs bientôt un module e-learning pour guider les médecins sur Twitter.

 

Dr Gilbert Bejjani, administrateur ABSyM

Dr Luc De Clercq, Vice-président ABSyM

Dr Marc Moens, Président ABSyM

 

À propos de l'ABSYM

Nous défendons une médecine libre avec un modèle de rémunération à l'acte, complétée par des forfaits.
Par exemple, en médecine générale, nous défendons toutes les formes de pratique et pas seulement les pratiques de groupe multidisciplinaires comme nos concurrents.

Le médecin généraliste solo doit pouvoir garder sa place.

En ce qui concerne les spécialistes, nous défendons tous les spécialistes y compris ceux qui exercent en dehors de l'hôpital.